Comme presque toujour
Le matin je me réveil de mon propre éveil, pas de brutalité de la sonnerie d’un réveil qui vous intime l’ordre de vous lever.
Entre 8h-8h30 mon esprit quitte les bras de Morphée, le matin est encore frileux et je profite de la chaleur de la couette quelques minutes de plus, une angoisse m’envahie sans réelle raison, je m’interroge sur l’échéance de cette journée, que va-t-il se passer, ferais-je ce que j’ai à faire.
Je prends mon petit déjeuné et mes inquiétude se dissipent, 9h déjà, c’est ce moment que choisi Mozart mon gros pacha pour venir s’enrouler sur mes genoux, je profite de ce moment d’intimité, de complicité, sa fourrure est chaude et douce, mes doigts caresse son soyeux pelage, son ronron me berce
½ heure passe et il me faut rompre le charme, vaqué aux occupations de tout à chacun, un peu de ménage et autre
Ainsi passera la journée quoi qu’il arrive.